Mêlant intimement chanson française et pop-rock, Joseph d’Anvers s’est affirmé en l’espace de dix ans et cinq albums comme l’un des auteurs-compositeurs-interprètes les plus justes de sa génération. Parolier pour Alain Bashung, Françoise Hardy ou encore Dick Rivers, il multiplie les collaborations (Mario Caldato Jr et Money Mark des Beastie Boys, Darrel Thorpe, producteur de Beck et Radiohead…) et enrichit sa palette musicale de nuances inédites à chaque album.L’artiste aux multiples facettes n’a pas fini de nous surprendre et nous délivre son nouvel opus « Doppelgänger » disponible le 5 février. Synonyme de renouveau, la trajectoire de ce nouvel album traverse des territoires multiples, électriques et sensuels au climat cinématographique. « Doppelgänger » est une traversée du monde, un kaléidoscope doux et fulgurant, riche de ses multiples vies, où Joseph d’Anvers qui ne cesse de se réinventer, nous guide dans une maîtrise virtuose des sonorités.
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Première partie : THOUSAND
Depuis le dernier album de Thousand (aka Stéphane Milochevitch) « Le Tunnel Végétal» (Talitres, 2018), nul doute ne peut subsister : ces textes, ces compositions, ces arrangements nourrissent notre ordinaire… et notre imaginaire. Concilier exigence et quotidien, songe et réalité, textes poétiques et lapidaires : c’est une affaire qui nous touche hautement. Serti par une écriture plus affirmée et une production décomplexée, « Au Paradis », troisième album de Thousand, délivre, au plus près de l’intime, un voyage à la fois acide et onirique. Un voyage que chacun mènera au gré de ses envies.