Etre doté d’une pensée musicale, s’exprimer avec les notes, les silences et les touches d’un piano, plus qu’à travers les mots, forge un destin. Celui de Lulu Gainsbourg s’approche de ces artistes au monde intérieur vertigineusement vaste, cultivant l’art de la peinture musicale. Si Lulu a hérité quelque chose de son père Serge, c’est son rapport à la beauté du son, un désir de communiquer à travers la création, d’être comme il le dit : « Le reflet d’une partition ».
En 2011, Lulu sortait son premier album « From Gainsbourg to Lulu » : des reprises en forme de passage de témoin, sincères et éloquentes. S’accompagnant des voix de Marianne Faithfull, de Johnny Depp et Vanessa Paradis, de Rufus Wainwright ou de Scarlett Johansson, il avait exprimé l’amour, l’attente, l’étrange contrepoint entre absence et silencieuse présence. Publié trois ans plus tard, « Lady Luck » sonnait comme un état des lieux d’un jeune homme assis au piano face à une rupture sentimentale douloureuse, composant 12 titres originaux, épaulé de guest stars comme l’actrice Anne Hathaway et son amie d’enfance, l’artiste peintre, Ara Starck.
Depuis, Lulu n’a cessé d’avancer, d’explorer, cherchant sa voix, sa propre façon de chanter et de raconter. En février 2018, il dévoilait son nouvel opus « T’es qui là ». Fruit de multiples défis, ce disque dévoile un musicien qui vise la prise de risque : les 14 chansons de ce nouvel opus aux sonorités 60’s, 70’s ont toutes été enregistrées en une seule fois !
En 2011, Lulu sortait son premier album « From Gainsbourg to Lulu » : des reprises en forme de passage de témoin, sincères et éloquentes. S’accompagnant des voix de Marianne Faithfull, de Johnny Depp et Vanessa Paradis, de Rufus Wainwright ou de Scarlett Johansson, il avait exprimé l’amour, l’attente, l’étrange contrepoint entre absence et silencieuse présence. Publié trois ans plus tard, « Lady Luck » sonnait comme un état des lieux d’un jeune homme assis au piano face à une rupture sentimentale douloureuse, composant 12 titres originaux, épaulé de guest stars comme l’actrice Anne Hathaway et son amie d’enfance, l’artiste peintre, Ara Starck.
Depuis, Lulu n’a cessé d’avancer, d’explorer, cherchant sa voix, sa propre façon de chanter et de raconter. En février 2018, il dévoilait son nouvel opus « T’es qui là ». Fruit de multiples défis, ce disque dévoile un musicien qui vise la prise de risque : les 14 chansons de ce nouvel opus aux sonorités 60’s, 70’s ont toutes été enregistrées en une seule fois !
PUR SANG (Première partie)
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Une soirée présentée par Gérard Drouot Productions.
Ouverture des portes à 19h30, début des concerts vers 20h